Oliver Hatori-McWood
Messages : 4 Date d'inscription : 24/07/2015
| Sujet: Oliver Hatori-McWood, dans la tête d'un dérangé Ven 24 Juil - 17:44:40 | |
| Fiche de présentation de Oliver Hatori-McWood"/> ☼ Nom(s), Prénom(s) : HATORI-McWOOD Oliver ☼ Âge + date de naissance : 12 ans, 31/10/2002 ☼ Nationalité : Britannico-Japonais ☼ Double-compte ? : Oui. Devinez de qui ☼ Statut : Interne ☼ Profession : Collégien ☼ Groupe : X
Caractère Oliver est un enfant effrayant. Il est calme, froid et taciturne. Non pas qu'il est misanthrope, il vous observe juste, en silence. Son sourire discret et étrange reste comme figé sur son visage. Il chantonne souvent des paroles morbides, ou à double-sens effroyable. Il rit souvent, doucement, bizarrement. Il est aussi paranoïaque sur les bords Oliver se cache dans le noir quand il a peur, où personne ne pourrait le retrouver, serrant dans ses bras la cage de feu James, son oiseau, un American Goldfinsh. Sinon, pour passer le temps, il regarde des films recommandés pour passer un bon Halloween, coud des tarentules et des Mr. Jack à la main ou lit des romans.
Histoire - "Mum ? Dad ? Where are you ?" s'affola un enfant accompagné d'un frêle canari sauvage. Il court seul, dans cette nuit d'hiver. Il a froid, sous sa redingote vieillote, et grelote à cause de la bise. Le blondinet s'arrête de courir, il abandonne tout espoir. Papa et Maman ne sont plus là. Le rouge sur la blancheur immaculée de la poudreuse aurait du lui mettre la puce à l'oreille. Papa et Maman sont partis. Ils ne reviendront plus le chercher. Ils ne reviendront plus me chercher.
- Spoiler:
Oliver cria, en se redressant sur son lit. James, son oiseau, commença à pépier, comme tous les matins quand son maître se réveiller. Un cauchemar, juste ça ! Il émit un rire hystérique. Ce n'était rien... non ? Le blondinet sauta de son lit, prenant sa petite cage du canari, une lampe torche et un vieux canif, car on ne sait jamais. Ses pas étaient étouffés par la moquette écarlate. L'enfant avança lentement vers la chambre parentale, de l'autre bout du couloir. Etrange, quelque chose manquait, Oliver ne savait quoi. La porte de chêne était entr'ouverte, c'était déroutant. Ses parents dormaient paisiblement. Au dessus du lit conjugual, il y avait inscrit en lettres de sang : "KILL THEIR", tue-les. Le blond sursauta, l'oiseau s'agita, le canif s'ouvrit dans les mains du garçonnet. Comme possédé, il découpa conscieucement les pieds, les jambes, les bras et le cou de ses parents. Les draps étaient ensanglantés, son pyjama aussi. Leur visage étaient si paisibles, si calmes, qu'on les croirait assoupis. Des larmes coulèrent sur les joues rebondies de l'enfant. Il avait tué ! Il avait tué ! Il avait tué ! Fou de douleur et de culpabilité, il se glissa entre les deux cadavres, les embrassant comme s'ils étaient vivants. - "Good night, Dad. Good night, Mum." Oliver s'endormi, entre les deux macchabés. S'ils ne viendront plus me chercher, c'est de ma faute. J'ai été un méchant garçon.
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Cela faisait plusieurs jours que le voisin remarquait que seul le petit Oliver et son sale canari sortait du 30 bis. Monsieur et Madame n'apparaissaient plus au seuil de leur porte pour lui dire au revoir et lui faire un bisou sur le bout du nez. Non pas qu'il détestait Oliver, recevoir ce gamin souriant à la maison était toujours un plaisir, bien qu'il soit assez inquiétant, mais avoir l'impression qu'il s'était passé quelque chose de grave le taraudait. L'homme savait grâce aux lumière que l'enfant ne dormait plus dans sa chambre, mais dans celle de ses parents depuis un bon mois. Une chose l'effrayait, mais quoi ?
Comme tous les soirs, Oliver passait à la supérette en bas de sa rue et achetait quelques bricoles pour son oiseau. L'homme qui observait ce manège se décida à aborder l'enfant. - "Hello Oliver, how are your parents ? - Hello mister March, they're... fine ! Thank you. L'enfant avait hésité. Il cachait quelque chose, c'est sûr. - Do you want to go in my house ? With your family ? Qu'allait-il répondre ? - Of course, mister ! I'll... talk to my parents ! Bye, see you later, mister !" Il avait souri. Il était parti en chantonnant. Tout allait bien, l'homme s'était fait des idées. Oliver n'avait pas de problème. Ouf ! Ce gamin allait bien.
Le soir venu, Oliver avait sonné chez M. March, avec son foutu piaf. Ses parents n'étaient pas présents. Etrange... Ce n'était pas des parents étouffants, mais jamais ils ne laisseraient sortir leur fils unique après 18 heures ! Mais peut-être n'était-ce rien qu'une sale impression. - "Excuse-me, mister March, but my parents are tad." Mensonge. L'homme le savait, c'était trop gros pour être vrai. Il partit vers la maison de son petit voisin. - "No mister ! Don't do that ! Don't do that !" pleurnicha Oliver quand son voisin lui serra le bras. Rien n'y fit. Monsieur March continua son avancée. Il entra et annonça sa présence. Pas de réponse, il monta pour rejoindre la chambre des parents. - "Don't do that ! Don't do that ! Don't do that !" L'enfant avait échappé à son emprise pour faire barrage de son corps devant la porte beige de la chambre de ses parents. - "Don't do that, mister... Please..." L'homme poussa le gamin. Que cachait-il ? Ce n'était pas normal ! Oliver avait toujours été un peu fou, il avait depuis longtemps perdu le contrôle du vélo dans sa tête. N'avait-il quand même pas... Il ouvrit la porte. Tout était en place. Les corps disloqués et rongés par les vers, le sang séché sur les draps et l'inscrition effroyable au-dessus du lit. Son regard passa des corps à l'enfant. Le blondinet tremblait, peur, colère, douleur et culpabilité mélées. C'était un assassin. - "Sorry, mister, I don't want..." L'homme entendit un bruit métallique, un rire enfantin et des pépiements d'oiseau. Puis une douleur lancinante au coeur. Ce petit enfoiré l'avait traversé avec un vieux canif. Il le regarda : Oliver souriait et pleurait à la fois, comme heureux et désolé de son acte. - "Sorry, mister, I warned you..."
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- "It seems that Oliver killed Mr. March. - Are you sure, Jake ? It speaks well of Oliver, the sissy to the bird ? - Yes, Ben. Une fille, brune et mignonne, s'approcha d'eux. - What are you talking about ? - The murder of Mr. March. - Apparently it's Oliver. - Oliver killed my grandfather... ? I'll kill him." Quand l'on parlait du loup... On entendait déjà les sifflement de James, cette saleté d'oiseau. Et comme James et Oliver sont indissociables. La brunette sauta sur lui, enragée - "Oliver ! You killed my grandfather ! I'LL KILL YOU ! I'LL KILL YOU !" Le canari pépiait de terreur. La fillette, comme une furie, lui creva un oeil avec ses doigts. Oliver n'avait pas bougé, il n'avait pas pleuré, il n'avait pas eu mal. Calmement, le blond sortit de sa poche son canif et coupa une phalange à la petite Erinye. - "Go to bed, Molly." Et il se dégagea de son entrave, la regarda avec mépris pisser le sang. Les deux garçons, terrorisés, s'enfuirent en priant que ce ne soit pas leur tour. Molly n'en avait pas eu assez. Elle voulait la mort de ce garçon ! Sa mort ! SA MORT ! Elle lui arracha la cage des mains et se saisit de James. Ses doigts serrèrent si fort le petit cou plumé que le volatile mourrut, étranglé. Le garçonnet n'aurait rien put faire. Avec son canif, il se jeta sur la fillette, tentant de la tuer. Enfin, il y parvint. C'était sans compter Ben et Jake, partis chercher des policiers. Les adultes récupérèrent Oliver, qui s'accrochait comme un damné à la cage de fer et à la dépouille du canari sauvage.
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- "We will warn your parents, kid. - They're dead, mister... L'enfant se met à rire, sa main droite sur sa blessure fraichement pansée. - I kill their mister ! Do you hear me ? I KILL THEIR !" Le rire fou se transforma en sanglots silencieux. Le policier ne savait que faire. D'un côté, il avait un coupable, de l'autre, un gamin en larmes s'aggripant vainement à ce qui lui restait d'espoir. Quelques jours plus tard, on découvrit les cadavres. Oliver fut envoyé dans une prison d'enfant. Un anonyme paya sa caution plusieurs mois plus tard. Suivant les dernières volontés de ses parents, il s'envola pour le pensionnat Yorokobi, où il espère oublier son passé.
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Anzu S. Kanrisha Principale
Messages : 154 Date d'inscription : 20/10/2014 Age : 38
| Sujet: Re: Oliver Hatori-McWood, dans la tête d'un dérangé Lun 3 Aoû - 21:59:55 | |
| ... Comme tout est bon, l'inscription est validée.
Cependant, au vu de la situation psychologique de ton personnage, je te demanderai de faire attention lors de tes rp's, et de bien penser à mettre une limite d'âge, ou une phrase de prévention dans tes titres ou descriptions, comme je l'ai édité pour ta fiche.
Bon jeu parmi nous ! | |
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Oliver Hatori-McWood
Messages : 4 Date d'inscription : 24/07/2015
| Sujet: Re: Oliver Hatori-McWood, dans la tête d'un dérangé Sam 8 Aoû - 23:18:47 | |
| Merci beaucoup !
Je m'engage à faire le plus attention possible avec ce personnage, quitte à "l'adoucir". Par contre, j'ai peur de me tromper sur les limites d'âges (c'est souvent trop bas quand j'le fais --') alors, je te prie de m'excuser si je te harcèle demande souvent pour le PEGI. | |
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